Tu es là, je t’entends derrière la porte
Je sens ton souffle sur mes rêves endeuillés
Ton regard étouffer mon mal et sa cohorte
D’espoirs douloureux et d’envies effeuillées
Je peux sentir ta peau, respirer ton odeur
Coucher sur le papier la future rencontre
Qui saura effacer nos regrets et nos leurres
Et tracer le chemin que l’avenir nous montre
Cet amour qui nous pèse de ne pas le connaître
Est à portée de mains si tu ouvres les yeux
Vers ce nouveau destin aux nimbes plus heureux
Tu es là, toute proche et tu vas apparaître
Comment se pourrait-il que l’espoir soit cruel
Au point de m’empêcher de croiser tes prunelles ?
Brest le 8 juin 2010
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