Sirène d’une nuit
Au corps tendre et complice
A la peau douce et lisse
Ton pas léger s’enfuit
Dés le petit matin
Déposant un baiser
Sur mon front apaisé
Et nos espoirs éteints
Nous n’eûmes pas de promesses
A peine quelques mots
Conscient que nos caresses
La chaleur de nos peaux
Suffisaient à la nuit
Le jour est revenu
Oubliant nos corps nus
Et notre désennuie
Et dans l’aube nouvelle
Le son de tes talons
Aux marches du perron
Doucement me réveille
Brest le 20 avril 2010
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