Je me retourne aujourd'hui et je comprends
La chance qu'il a eu, qu'il a laissé passer:
Tant d'opportunités, de chemins que l'on prend
Pour ne pouvoir parler du bonheur qu'au passé.
Mais je l'ai vu "soleil", et ses rayons perçants
Ont labouré ma peau jusqu'à toucher mon coeur
L'ont couvert de lumière, ont réchauffé mes sangs:
J'ai savouré le miel qui délivre des peurs
Et puis sans prévenir, la sensation de vide:
j'ai dû trouver la force de briser le cocon
Qu'il avait abîmé pour me voir "chrysalide"
Et libérer aux vents mes ailes de papillons
Châteaulin, le 11 janvier 2013
Peut-être pas que de la chance... Peut-être juste une évidence...
RépondreSupprimerPetit vers à soi dans un tourbillon
RépondreSupprimerPetit ver à soie change d'horizon
Il ne remarque pas, la libellule frôlon
Au regard noir ou bas, au fil de l'émotion
Approche du soleil, rechauffe tes "chavirons"
Garde moi un bout d'ciel, pour l'utopie d'"osons"
Ne brûlez pas vos zèles, homo papillonneur
Auprès de demoiselles, qui auront vos saveurs
Et un jour si la vie, brise un autre cocon
Penchez vers Brest la nuit, osez mon illusion
Et quand un jour l'ennui, brisera l'autre cocon
Sachez qu'ici je tremble, pour l'Hespérie Barbon.
... sans mot... sans voix...
SupprimerPensée aux ombres sans mot du silence- la nuit.
RépondreSupprimerUn matin comme celui-là, il y a juste dix ans déjà, la ville avait ce teint blafard, lorsque je sortis de la gare, Brest m´était encore inconnue, je n´y étais jamais venue
Il avait fallu ce message, pour que je fasse le voyage:
"Madame soyez au rendez- vous 25 rue de la Grange au loup..."