La nuit descend doucement et vient caresser Brest
Des lumières endormies de ses néons célestes
Le silence envahit paisiblement ses rues
Enveloppe le port, ses bateaux et ses grues
Aux pieds de ses murs gris, les béantes blessures
Saignent de la promesse d'une ville future
Seuls, à cette heure, dans les rues déambulent
Témoins de cette renaissance, les errants noctambules
Mais Barbara n'est plus, hélas! et ne pourra pas voir
Cette ville brisée renaître à l'espoir
Brest, le 6 avril 2011
texte déposé à la SGDL
RépondreSupprimerje t'envoie un poème que j'ai ecris
Brest
tu as un regard bleu et des mains chaudes,
je m'enivrerais de ton parfum sucré
ta chaleur, ton regard ému
quelle chaleur quand tu me touches et décide d'envahir ma peau de ton parfum sucré
Brest, tu m'as envahis
tu es mon amante
un foulard de soie, de soi
sois mon amante, Brest
tu m'as saisi dur'té
tu es ma fatale, ma violente, hostile
j'ai posé mon sac un jour d'été
tu m'as saisi, tu m'as demasqué vivante ....
Quelle complexité de m'avoir marié à toi
tu veux souvent divorcer, m'abimer, pourquoi ?
tu es mon océan bleu, ma jeunesse
j'ai changé, j'ai aimé, tu m'as abimé
tu m'as bouleversé, enragé, fais pleurer
quelle peinture, quelle maquillage, quelle image .....
tu es belle, je suis vivante en toi
Brest, tu m'as aimé comme une amante insensible
tu m'as prise en douceur, là
tu as été violente
tu veux m'aimer violemment ...