dimanche 18 septembre 2011

Siège

Je te raconterai ces jours qui me ravissent
Et ces nuits lumineuses de lueurs scintillantes
Les corolles de regrets qui chaque fois fleurissent
Quand mes amours heureuses se font étoiles filantes

Je te dirai mon mal de n'être plus le jouet
De ces regards brûlants sur mes heures vagabondes
Mes pensées animales attisées par le fouet
Du souvenir cuisant de leurs brèves secondes

Je t'avouerai enfin ton bonheur qui me hante
Chaque fois qu'un regard me crève ou me percute
M'entraînant au matin dans une valse lente
A prendre le départ d'une nouvelle chute

Et si l'heure s'y prête si les mots me reviennent
Je t'avouerai l'amour que j'avais dans le coeur
Avant qu'il ne s'arrête et que je ne devienne
Que l'ombre de la tour qu'abritât mon bonheur


Brest le 19 septembre 2011

2 commentaires:

  1. ce poème à un je ne sais quoi de Goldman, pas vraiment étonnant en fait.mlw

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  2. ce poème à un je ne sais quoi de Goldman, pas vraiment étonnant en fait.mlw

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