samedi 13 novembre 2010

Le consulat de la petite princesse aux oreilles percées

Petite princesse aux oreilles percées
toi l'écrin dans lequel j'ai déposé mon cœur
Pour qu'il soit le buvard du moindre de tes pleurs
En effaçant chacun des chagrins amorcés
Allongée tendrement dans les bras de Morphée
Qui te fait voyager au pays des rêves
Je te sens retrouver tes quelques amies fées
Au sourire qui nait, aux sourcils qui se lèvent
Toi mon petit bijou, ma caresse précieuse
Toi dont j'aime embrasser la peau si délicieuse
Pour entendre ton rire s'envoler en éclat
Et tes yeux mon amour, pour me faire oublier
Le monde tout autour parfois si singulier
M'offrent pour m'y blottir un tendre consulat  
Brest le 12 novembre 2010

1 commentaire:

  1. Qui n'aurait rêvé plus belle déclaration d'Amour ? Elle en a de la chance princesse Naouelle d'avoir un papa si doué avec les mots...

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