le soir était venu dans son manteau de nuit
Arrachant à la vie d'un jour décomposé
Un peu de sa chaleur et presque tous ses bruits
Pour laisser au mensonge le temps de se poser
Le soir était venu mais il n'était pas seul
Il avait son cortège de pensées et de pleurs
En avance, il couvrait d'un éclatant linceul
Les sentiments brisés, les erzats de bonheur
Le soir était venu, presque sans prévenir
Pesant d'un poids immense sur les épaules frèles
D'un espoir étourdi à grands coups d'ires réelles
Le soir était venu peu avant de mourir
Sur les dunes désolées d'un désert fidèle
Aux mirages agaçants d'être si iréels
Arrachant à la vie d'un jour décomposé
Un peu de sa chaleur et presque tous ses bruits
Pour laisser au mensonge le temps de se poser
Le soir était venu mais il n'était pas seul
Il avait son cortège de pensées et de pleurs
En avance, il couvrait d'un éclatant linceul
Les sentiments brisés, les erzats de bonheur
Le soir était venu, presque sans prévenir
Pesant d'un poids immense sur les épaules frèles
D'un espoir étourdi à grands coups d'ires réelles
Le soir était venu peu avant de mourir
Sur les dunes désolées d'un désert fidèle
Aux mirages agaçants d'être si iréels
Brest, le 1er décembre 2011
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